Thomas B.

ECE

2006 Telecom EM

 La « prépa » au CIV a de nombreux atouts qui, je pense, en font une classe prépa à part. J’ai eu la chance de passer deux années exceptionnelles à Sophia-Antipolis, deux années bien sûr faites de travail, beaucoup de travail, mais aussi deux années réellement épanouissantes – ce qui n’est généralement pas l’image associée à une classe prépa.

 Il ne fait aucun doute que la volonté de l’équipe enseignante, au-delà de la volonté de faire réussir chacun d’entre-nous, est de nous permettre de nous sentir bien dans ou en dehors de nos études. Au CIV, l’épanouissement personnel est vu comme une composante du succès, ce dont je ne doute pas une seule seconde. Le cadre de vie très «naturel» permet de se ressourcer facilement et d’entretenir la bonne ambiance qui règne au sein de la classe, ce qui minimise le stress. L’internat sur place est tout à fait correct, et là encore cela permet de nouer des amitiés fortes, résistantes à l’esprit de compétition qui semble généralement dominer dans une classe préparatoire. Mes deux années de prépa au CIV resteront à jamais gravées comme d’excellents souvenirs. Bien sûr, cette expérience est éprouvante, mais si je devais refaire une prépa je n’hésiterais pas une seule seconde : direction le CIV !